lundi, mai 28, 2007
Insomnie et lecture, fidèles au poste
Avertissement: ce post est complètement nul pour des raisons de sommeil et de difficultés d'expression sur un bouquin qui m'épate à mesure que j'avance.
Et voilà que revient cette nuit l'insomnie sans objet, vers trois heures, soit plus d'une heure après celle du coucher, déjà tardive, j'en conviens.
Dans un post précédent sur L'Orange de Malte j'avouais (mais le but n'était pas d'alléger ma conscience) n'avoir jamais lu, parmi d'autres auteurs, Roger Nimier. Sans aller jusqu'à prétendre que c'est désormais chose faite, je dirai simplement que j'ai attaqué avec enthousiasme Les Enfants tristes. Pour une lectrice de noir, quelques pages sont nécessaires pour se réaccoutumer. Mais peu. Très peu, en fait. Sans doute l'émerveillement que procure cette quasi-virginité renouvelée à la littérature française — une méthode que je me permets de vous recommander au passage si ce n'est déjà fait. En fausse ingénue, donc, je démarre Nimier. Je viens de finir la première partie à cette heure de la matinée, dont une trentaine de pages au bain, quelques-unes au divan, d'autres sous les draps, puis au bain à nouveau, enfin au bar-tabac (double express). Pour ne pas changer il ne sera pas ici question d'intrigue ou de personnages mais d'impressions à chaud, parfaitement subjectives, traduites en quelques mots. C'est formidable, moderne, démodé, sensuel, cruel; il s'en dégage la vigueur et l'élégance d'un monde finissant, permissif et puritain. Et puis cet emploi des temps qui méprise la concordance mais en toute cohérence rythme la narration de façon insensée [NdB: je rappelle que je n'ai pas dormi, donc pardon pour les phrases bizarres].
Bien entendu, un post suivra quand j'aurais fini, mais il risque fort de ressembler à celui-là. Nous verrons.
[Roger Nimier, Les Enfants tristes, Folio]
[NdB: on ne trouvera jamais ici de recensions objectives ou neutres, de conseils de lecture: c'est juste un blogue, un Je, pas un supplément littéraire.]
Et voilà que revient cette nuit l'insomnie sans objet, vers trois heures, soit plus d'une heure après celle du coucher, déjà tardive, j'en conviens.
Dans un post précédent sur L'Orange de Malte j'avouais (mais le but n'était pas d'alléger ma conscience) n'avoir jamais lu, parmi d'autres auteurs, Roger Nimier. Sans aller jusqu'à prétendre que c'est désormais chose faite, je dirai simplement que j'ai attaqué avec enthousiasme Les Enfants tristes. Pour une lectrice de noir, quelques pages sont nécessaires pour se réaccoutumer. Mais peu. Très peu, en fait. Sans doute l'émerveillement que procure cette quasi-virginité renouvelée à la littérature française — une méthode que je me permets de vous recommander au passage si ce n'est déjà fait. En fausse ingénue, donc, je démarre Nimier. Je viens de finir la première partie à cette heure de la matinée, dont une trentaine de pages au bain, quelques-unes au divan, d'autres sous les draps, puis au bain à nouveau, enfin au bar-tabac (double express). Pour ne pas changer il ne sera pas ici question d'intrigue ou de personnages mais d'impressions à chaud, parfaitement subjectives, traduites en quelques mots. C'est formidable, moderne, démodé, sensuel, cruel; il s'en dégage la vigueur et l'élégance d'un monde finissant, permissif et puritain. Et puis cet emploi des temps qui méprise la concordance mais en toute cohérence rythme la narration de façon insensée [NdB: je rappelle que je n'ai pas dormi, donc pardon pour les phrases bizarres].
Bien entendu, un post suivra quand j'aurais fini, mais il risque fort de ressembler à celui-là. Nous verrons.
[Roger Nimier, Les Enfants tristes, Folio]
[NdB: on ne trouvera jamais ici de recensions objectives ou neutres, de conseils de lecture: c'est juste un blogue, un Je, pas un supplément littéraire.]
Ce blaugue daisauriante la geunaisse kar défoua vous aite stalyniun et vou dizes qy'Aragon cé biun et dé zautre foua vous dizez du biun dautheur de droaute komme adégé ou roger nimier. C'en nait tassé, vrémant, cette confusiont, heureusement que nous geunektolyque angajé nou kommunyon dan la daitaisassion de laid dukation natyonale é de la fransse socialo communisse ke le présidant sarqueausi va kassé avec sa gourmette. halte a l'égalitarysme ki ma ampéché davouare mon bétéhesse vente acqusion marchande alaure que plin de naigre atée lont é au relatyvisme de se blaugue li rand parfoua mont zizi tou dure
Veau trai grau praublaime psishik saiquesuaile é aurtografikhe vouzan paiche davouare leu bétéhaice don vouparlé alaur keu lé naigraté é lé zindien ossi paraigzanpl ki neu kaunèsse pa lé maime preaublaim louin deula lon é maime parfouah avek mansion tébiun alaure kamenbaire mintnan