Cette vanité* restitue une partie des billets ayant été publiés sur le site Les Moissonneuses, créé le 1er août 2006 par Jenny Suarez-Ames et deux copines (Kelp et La Rubia, semblerait-il), puis co-administré — si j'ai bien compris — à partir d'août 2007 par le colonel Alfredo Smith-Garcia, qui vaporisa l'ensemble le 23 janvier 2009.
Certains billets sont bien complets de leurs commentaires, mais la plupart, non : on a fait avec ce qu'on avait.
Comme je suis une truffe en informatique, la mise en page est parfois bousculée, différente de celle d'origine. Si certaines images manquent, c'est qu'elles ont disparu des serveurs qui les hébergeaient. Quant aux liens internes des messages, la plupart ne fonctionnent évidemment plus.
Mr Paic-Machine nous signale aimablement que l'on trouve d'autres archives des Moiss' .

* Les mots en italiques sont dus à l'intelligence de l'Anonyme historique d'autres blogues, fruits plus ou moins ancillaires des Moissonneuses.

jeudi 18 février 2010

21 novembre 2008 (3)

vendredi, novembre 21, 2008

Ligne de feu


Le prince de Ligne, un illustre voisin, quand on lui demandait pourquoi il n'était pas revenu sur ses terres une fois la Révolution terminée résumait ses raisons dans une jolie tierce paronymique que nous faisons nôtre à l'idée de pactiser avec ce monde là, que ce soit dans ses manifestations tragiques (infamies technomarchandes, embastillement des plus brillants esprits du temps) ou minuscules (mesquineries paralittéraires d'un milieu qui a les méthodes de ses personnages ).

"L'humeur, l'honneur, l'horreur."

3 approbations inconditionnelles:

WALOU a dit…

Bien résumé et toujours d'actualité.

Apocope et labile a dit…

Hé, mais alors c'est cette citation qu'était censé évoquer le bouquin de Jeanne Favret-Saada, Les mots, la mort, les sorts, jadis conseillé en socio ??!
Je me souviens des délires binaires des manchettes du Monde durant la quinzaine post-11/09, mais je ne vois pas d'autres exemples de cette belle structure ternaire.

Albertine a dit…

Au nom de l'élégance de Charles-Joseph, dandy du sens de l'histoire.

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