Cette vanité* restitue une partie des billets ayant été publiés sur le site Les Moissonneuses, créé le 1er août 2006 par Jenny Suarez-Ames et deux copines (Kelp et La Rubia, semblerait-il), puis co-administré — si j'ai bien compris — à partir d'août 2007 par le colonel Alfredo Smith-Garcia, qui vaporisa l'ensemble le 23 janvier 2009.
Certains billets sont bien complets de leurs commentaires, mais la plupart, non : on a fait avec ce qu'on avait.
Comme je suis une truffe en informatique, la mise en page est parfois bousculée, différente de celle d'origine. Si certaines images manquent, c'est qu'elles ont disparu des serveurs qui les hébergeaient. Quant aux liens internes des messages, la plupart ne fonctionnent évidemment plus.
Mr Paic-Machine nous signale aimablement que l'on trouve d'autres archives des Moiss' .

* Les mots en italiques sont dus à l'intelligence de l'Anonyme historique d'autres blogues, fruits plus ou moins ancillaires des Moissonneuses.

jeudi 18 février 2010

6 novembre 2008 (1)

jeudi, novembre 06, 2008

La grâce violente du film noir (15)

Adapté de son roman éponyme par le maître-lui même, Norman Mailer, disparu il y a un an, un film noir exagéré avec de la testostérone, de la paranoïa et du bourbon qui rend amnésique. Though guys don't dance, les vrais durs ne dansent pas. Pas franchement un film de tafioles. Les vrais durs, c'est aussi les gonzesses, d'ailleurs. L'économie du machisme, comme dirait Thierry Marignac dans son livre sur Norm. Sinon, ça se passe à Cape Cod, il y a Isabela Rosselini, Ryan O'Neal et la mer en hiver. On est en 1987.
Pour nos frères et soeurs en insomnie.

2 approbations inconditionnelles:

Anonyme a dit…

Grand film malade mais grand film

Anonyme a dit…

Mailer est un grand écrivain mais un cinéaste moyen, non?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire