mercredi, novembre 12, 2008
La grâce poilante du film noir

Dégoté sur un blogue [no comments], cet extrait de l'un des films-cultes de mon enfance d'agitée. Belmondo magnifique, Jacqueline Bisset sublime, la vengeance de François Merlin, l'écrivain crève-la-faim, sur son double Bob Sinclar (palinien en termes de déco). Une attaque de requin dans une cabine téléphonique, du cyanure dans la piscine, un salaud d'éditeur, et des fantasmes à la pelle. Pour nos frères et sœurs en... en séries Z, disons.
Excellent choix