Cette vanité* restitue une partie des billets ayant été publiés sur le site Les Moissonneuses, créé le 1er août 2006 par Jenny Suarez-Ames et deux copines (Kelp et La Rubia, semblerait-il), puis co-administré — si j'ai bien compris — à partir d'août 2007 par le colonel Alfredo Smith-Garcia, qui vaporisa l'ensemble le 23 janvier 2009.
Certains billets sont bien complets de leurs commentaires, mais la plupart, non : on a fait avec ce qu'on avait.
Comme je suis une truffe en informatique, la mise en page est parfois bousculée, différente de celle d'origine. Si certaines images manquent, c'est qu'elles ont disparu des serveurs qui les hébergeaient. Quant aux liens internes des messages, la plupart ne fonctionnent évidemment plus.
Mr Paic-Machine nous signale aimablement que l'on trouve d'autres archives des Moiss' là.
* Les mots en italiques sont dus à l'intelligence de l'Anonyme historique d'autres blogues, fruits plus ou moins ancillaires des Moissonneuses.
Certains billets sont bien complets de leurs commentaires, mais la plupart, non : on a fait avec ce qu'on avait.
Comme je suis une truffe en informatique, la mise en page est parfois bousculée, différente de celle d'origine. Si certaines images manquent, c'est qu'elles ont disparu des serveurs qui les hébergeaient. Quant aux liens internes des messages, la plupart ne fonctionnent évidemment plus.
Mr Paic-Machine nous signale aimablement que l'on trouve d'autres archives des Moiss' là.
* Les mots en italiques sont dus à l'intelligence de l'Anonyme historique d'autres blogues, fruits plus ou moins ancillaires des Moissonneuses.
samedi 20 février 2010
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Nous tiendrons Les cordons du poêle.
Dans un enterrement, marcher à côté du cercueil ou immédiatement derrière.
comme dit Westlake
http://209.85.229.132/search?q=cache:GOp_p975hiEJ:lesmoissonneuses.blogspot.com/2007/08/adios-shhrazade.html+adios+sherazade,&hl=fr&ct=clnk&cd=1&client=safari
ici
Et merde ! Le couperet est tombé. Mauvais augure pour 2009. Adios, Donald, Richard, Tucker, John, Kelp, Tiny, Parker… Je vais de ce pas oublier ces mauvaises nouvelles à l'OJ Bar & Grill.
Fait chier.
Le mot est faible. Quelqu'un est enfouraillé ?
En 77, quand Elvis est mort, Johnny Rotten a dit: " Seulement maintenant ? Je croyais que c'était fait depuis longtemps".
Salut, les grues du bénitier polar.
Ah ouais, parce que chérir D. W., c'est faire sa grue ? Quand Guy Debord est mort, Johnny Lydon a-t-il hurlé autre chose que "This is not a love song" ?
Lâchez le fétichisme, c'est religieux. Curieux, qu'un "révolutionnaire" de votre calibre, n'ai jamais réfléchi à ça.
C'est pas religieux un lectorat, c'est affectueux; curieux qu'un romancier affecte de ne pas le comprendre.
Et que vient foutre le Glavnoe Razvedyvatel'noe Upravlenie dans le bénitier ?
Pour le GRU, si c'est moi, première nouvelle,je vais demander une augmentattion et franchement les cartes vermeil, vous pouvez pas comprendre qu'on rigole à vos commémorations ?
Je vous souhaite une longue piété.
Breton s'ébrouait :
"Lâchez au besoin une vie aisée
Ce qu'on vous donne pour une situation d'avenir
Partez sur les routes."
Marignac, vous ne comprendrez jamais. La stupidité n'a pas de fin. C'est juste que le plus jouissif des écrivains de romans policiers, depuis 1962, a cassé sa pipe, chose que vous êtes incapable de comprendre (je vous laisse deviner laquelle).
Plus direct, parce que là ça commence à chauffer du zinc.
Connard, on s'en branle, des commémorations ! on s'en branle, de la piété ! on s'en tape, de tout ce que tu te branles à imaginer comme notre avilissement à se soumettre à des maîtres dont tu soupçonnes si judicieusementl'autorité ! (tout ceci pour respecter la sacro-syntaxe de ton écriture) Pauvre pouffe !
Manchette, Debord, Fajardie, Westlake et tant d'autres sont morts, et tu crois mieux faire ? Va, fais mieux : crève, au lieu de continuer à nous faire chier.
Bref, laisse-nous lire et va te coucher. Merci.
Venant de la chaisière qui génuflexe devant l'Antéchrist, et de la mémère qui croit malin de se prendre au sérieux à l'enterrement d'un farceur, je suis carrément flatté merdeux sans nom. 0 l'époque où j'ai connu les ultra-gauches, il prenaient pas leur culture dans Télérama, ils respectaient personne, ta&s de merde en train de pleurer sur les séries noires de son enfance.
Vas-y fais un comité de soutien, mémé !!!
be good dit :
allez !
le blog qui décoiffe
Messieurs, Les Moissonneuses vous rappellent à la décence. On ne s'écharpe pas autour d'un cerceuil.
On dansera éventuellement autour de celui du capitalisme, mais ça va prendre du temps
Désolé, je me suis emporté hier soir : virulence due à trop de tournées enfilées à l'OJ Bar & Grill. Un excellent Côtes du Rhône blanc, au demeurant. Marignac, je vous présente mes excuses pour ces insultes, dont vous conviendrez que je ne suis guère coutumier. Sur le fond, je maintiens mon propos : je ne comprends pas pourquoi vous tenez systématiquement ceux qui apprécient certaines œuvres pour des zélateurs idolâtres incapables de la moindre critique. Westlake n'a pas écrit que des chefs d'œuvre du niveau d'Ordo, Un jumeau singulier, Dégât des eaux, Le couperet ou Aztèques dansants, témoin Smoke, par exemple, mais tous ses romans sont au minimum bien ficelés : jamais il ne se fout de la gueule du lecteur, contrairement à tant d'autres (Dantec, Delcour, Dan Simmons…). Il continuait à pondre au moins un bouquin par an, sans que la quantité altère la qualité. Je ne me sens pas l'âme d'une pleureuse, mais je sais qu'on n'aura plus de nouveau Dortmunder, c'est tout.
Dans Libé d'aujourd'hui, Guérif dit avoir cinq inédits en réserve, dont deux Parker et un Dortmunder.
Au moins deux Dortmunder, d'après le site de Westlake : Watch your back ! et What's so funny ? Mais je ne parlais évidemment pas des romans en cours (ou attente) de traduction.
Si j'avais su je me serais abstenue de rentrer. Ou j'en aurais refait une. Une piste. Rouge. Et merde.