vendredi, octobre 24, 2008
Presque jour pour jour
Il y a soixante dix ans tout juste, les volontaires des Brigades Internationales cessaient le combat et faisaient leur défilé d'adieu devant Dolorès Ibarruri, la Pasionaria.
Tu n'y étais pas, tu n'y étais plus,et pour cause. Je ne t'ai pas connu mais je ne t'oublierai jamais.
Tu n'y étais pas, tu n'y étais plus,et pour cause. Je ne t'ai pas connu mais je ne t'oublierai jamais.
Très bon article sur le Clézio dans Valeurs Actuelles, félicitations
Phaèton
Merci, c'est très gentil.
Sur les volontaires français des BI :
L'espoir guidait leurs pas
de Rémi Skoutelsky
Non loin ou autour on y trouvait Simone Weil, Bernanos ou Orwell, Du beau monde, des esprits libres.
Amalthée
Celui qui y croyait et celui qui n'y croyait pas. Mais allez faire comprendre aujourd'hui à la conjuration des imbéciles qu'on pouvait être un jeune élève instituteur communiste parti de sa Seine Maritime pour une tranchée près de Teruel et avoir le Voyage dans son paquetage.
Sa Seine Inférieure, pardon, comme on disait en 1937
Les imbéciles je m'en protège maintenant. En ces temps crétins, il vaut mieux.
Amalthée
Le diaporama est très glop, émouvant à souhait (ce message n'est pas ironique).