lundi, janvier 05, 2009
Et tu seras, fillette, fillette, la dernière spectatrice...
...du dernier journal télévisé de l'histoire du monde.
Et puis enfin, enfin, le calme.
Et puis enfin, enfin, le calme.
l'élégance, la science, la violence !
[Rémanences du blogue]
Tiens, ce soir la pub disparaît de la télé publique… si le JT pouvait être supprimé dans la foulée, ne s'en porterait-on pas tout aussi bien ?
Il faudrait que je me décide un jour à voir The Omega Man, dont cet extrait semble justifier l'éloge qu'on peut en lire dans, au hasard, La minute prescrite pour l'assaut. Mais j'ai du mal avec Charlton Heston, même comme acteur : il joue comme un sanglier ou un taureau (le comparer dans ses peplums avec la finesse de Kirk Douglas dans Spartacus). J'ai toujours préféré Le monde la chair et le diable, Brazil, la très bonne adaptation de 1984 ou même THX 1138 à Soleil vert ou, bien évidemment, La planète des singes et ses séquelles. Il y a aussi que je n'ai guère envie d'altérer mon souvenir du Matheson. Mais bon, vu qu'en fait je n'en ai presque aucun, pas plus que des films sus-mentionnés, OK, je vais mater ça.
C'est marrant, je relisais hier soir Un coup à la porte, du père Brown (pas celui de Chesterton), qui démontre malicieusement qu'être le dernier homme sur Terre peut s'avérer plein de promesses de bonheur.
Pardon, on retombe sur les petites culottes (celle de la fillette-titre en porte-t-elle d'ailleurs une ?)
Oh là là, qu'est-ce que je m'étale, sur ce blogue…
Ah, j'oubliais :
Bonne année à tous,
Bonne année à ceux qui vont suri-vreu.
Si c 'est comme ça, ma décision est prise : un tour dans le frigo et je me recouche.
Hyper-d'accord, cher Pop9. (Bâillements étouffés à grand-peine).
Et bientôt, dès que l'occasion s'en présentera à la grâce de je ne sais quelle numérotation de film noir, je vous causerai d'un des plus grands génies (à son insu et au vôtre) de l'autre siècle : Richard J-E.
Mais vraiment, même sans-culotte, personne n'a rien à dire sur 1984 ?