Cette vanité* restitue une partie des billets ayant été publiés sur le site Les Moissonneuses, créé le 1er août 2006 par Jenny Suarez-Ames et deux copines (Kelp et La Rubia, semblerait-il), puis co-administré — si j'ai bien compris — à partir d'août 2007 par le colonel Alfredo Smith-Garcia, qui vaporisa l'ensemble le 23 janvier 2009.
Certains billets sont bien complets de leurs commentaires, mais la plupart, non : on a fait avec ce qu'on avait.
Comme je suis une truffe en informatique, la mise en page est parfois bousculée, différente de celle d'origine. Si certaines images manquent, c'est qu'elles ont disparu des serveurs qui les hébergeaient. Quant aux liens internes des messages, la plupart ne fonctionnent évidemment plus.
Mr Paic-Machine nous signale aimablement que l'on trouve d'autres archives des Moiss' .

* Les mots en italiques sont dus à l'intelligence de l'Anonyme historique d'autres blogues, fruits plus ou moins ancillaires des Moissonneuses.

samedi 20 février 2010

5 janvier 2009

lundi, janvier 05, 2009

Et tu seras, fillette, fillette, la dernière spectatrice...

...du dernier journal télévisé de l'histoire du monde.

Et puis enfin, enfin, le calme.

4 approbations inconditionnelles:

George WF Weaver a dit…

Tiens, ce soir la pub disparaît de la télé publique… si le JT pouvait être supprimé dans la foulée, ne s'en porterait-on pas tout aussi bien ?
Il faudrait que je me décide un jour à voir The Omega Man, dont cet extrait semble justifier l'éloge qu'on peut en lire dans, au hasard, La minute prescrite pour l'assaut. Mais j'ai du mal avec Charlton Heston, même comme acteur : il joue comme un sanglier ou un taureau (le comparer dans ses peplums avec la finesse de Kirk Douglas dans Spartacus). J'ai toujours préféré Le monde la chair et le diable, Brazil, la très bonne adaptation de 1984 ou même THX 1138 à Soleil vert ou, bien évidemment, La planète des singes et ses séquelles. Il y a aussi que je n'ai guère envie d'altérer mon souvenir du Matheson. Mais bon, vu qu'en fait je n'en ai presque aucun, pas plus que des films sus-mentionnés, OK, je vais mater ça.
C'est marrant, je relisais hier soir Un coup à la porte, du père Brown (pas celui de Chesterton), qui démontre malicieusement qu'être le dernier homme sur Terre peut s'avérer plein de promesses de bonheur.
Pardon, on retombe sur les petites culottes (celle de la fillette-titre en porte-t-elle d'ailleurs une ?)
Oh là là, qu'est-ce que je m'étale, sur ce blogue…

Manne, ou chiant a dit…

Ah, j'oubliais :
Bonne année à tous,
Bonne année à ceux qui vont suri-vreu.

Pop9 a dit…

Si c 'est comme ça, ma décision est prise : un tour dans le frigo et je me recouche.

George WF Weaver a dit…

Hyper-d'accord, cher Pop9. (Bâillements étouffés à grand-peine).
Et bientôt, dès que l'occasion s'en présentera à la grâce de je ne sais quelle numérotation de film noir, je vous causerai d'un des plus grands génies (à son insu et au vôtre) de l'autre siècle : Richard J-E.
Mais vraiment, même sans-culotte, personne n'a rien à dire sur 1984 ?

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