Cette vanité* restitue une partie des billets ayant été publiés sur le site Les Moissonneuses, créé le 1er août 2006 par Jenny Suarez-Ames et deux copines (Kelp et La Rubia, semblerait-il), puis co-administré — si j'ai bien compris — à partir d'août 2007 par le colonel Alfredo Smith-Garcia, qui vaporisa l'ensemble le 23 janvier 2009.
Certains billets sont bien complets de leurs commentaires, mais la plupart, non : on a fait avec ce qu'on avait.
Comme je suis une truffe en informatique, la mise en page est parfois bousculée, différente de celle d'origine. Si certaines images manquent, c'est qu'elles ont disparu des serveurs qui les hébergeaient. Quant aux liens internes des messages, la plupart ne fonctionnent évidemment plus.
Mr Paic-Machine nous signale aimablement que l'on trouve d'autres archives des Moiss' .

* Les mots en italiques sont dus à l'intelligence de l'Anonyme historique d'autres blogues, fruits plus ou moins ancillaires des Moissonneuses.

mardi 16 février 2010

6 octobre 2008

lundi, octobre 06, 2008

Bleu

Les Moissonneuses, ce ne sont pas que de saines polémiques et de la baston, c'est aussi la variétoche italienne, l'amour et le marxisme balnéaire. Et le polar pléonastiquement anxiogène. Ah merde pardon... Nous disions donc: la variétoche italienne.

6 approbations inconditionnelles:

Pop9 a dit…

Nei miei pensieri all'incontrario vaaaaaaaaaaaa... Effectivement, la variétoche italienne vaut presque le marxisme balnéaire.

Alfredo Smith-Garcia a dit…

Un chanteur italien des sixties sera toujours moins chiant qu'un moraliste de la génération lyrique.

JML a dit…

Ok, mais c'est quand même un peu de la soupe non ?
Tiens pour vous changer, je viens d'entendre James Hunter sur FIP, un nouvel album qui sort, de la soul anglaise. Et ça, ça déménage. Quelle putain de voix !

le fantôme de a dit…

Ca c'est bien vrai: la génération lyrique ils font rien qu'à nous embêter avec leur moraline.

Thierry Marignac a dit…

Mais non ils nous instruisent. Le seul inconvénient c'est qu'avec tout le pognon qu'ils ont mis à gauche sur notre dos, et les progrès de la médecine, ils vont jamais crever.

le fantôme de a dit…

Alors là, bien vu, monsieur Marignac! en 40 ans d'Education Nationale, je m'en suis en effet mis plein les fouilles sur votre dos, comme la plupart de ceux de ma "génération lyrique". Avec ça je vais même pouvoir acheter une clinique.
J'espère juste avoir à mourir un jour plutôt qu'à crever comme vous le dites si élégamment (c'est ce que je vous souhaite également malgré votre incompréhesible hargne). Quant au calendrier de cet événement très personnel, je ne peux rien vous promettre: ça dépend beaucoup des gènes, des hasards de l'existence, du genre de vie que j'aurai mené, de la résistance spécifique des différents organes vitaux...
Au plaisir.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire