Cette vanité* restitue une partie des billets ayant été publiés sur le site Les Moissonneuses, créé le 1er août 2006 par Jenny Suarez-Ames et deux copines (Kelp et La Rubia, semblerait-il), puis co-administré — si j'ai bien compris — à partir d'août 2007 par le colonel Alfredo Smith-Garcia, qui vaporisa l'ensemble le 23 janvier 2009.
Certains billets sont bien complets de leurs commentaires, mais la plupart, non : on a fait avec ce qu'on avait.
Comme je suis une truffe en informatique, la mise en page est parfois bousculée, différente de celle d'origine. Si certaines images manquent, c'est qu'elles ont disparu des serveurs qui les hébergeaient. Quant aux liens internes des messages, la plupart ne fonctionnent évidemment plus.
Mr Paic-Machine nous signale aimablement que l'on trouve d'autres archives des Moiss' .

* Les mots en italiques sont dus à l'intelligence de l'Anonyme historique d'autres blogues, fruits plus ou moins ancillaires des Moissonneuses.

vendredi 12 février 2010

18 août 2008 (2)

lundi, août 18, 2008

Buk

Il vaut mieux être un ivrogne célèbre qu’un alcoolique anonyme. Charles Bukowski qui a donné à la dipsomanie ses lettres de noblesses, est devenu un des plus grands écrivains américains du vingtième siècle grâce à la résistance de son foie et à la radicale nouveauté de son écriture. Le public français l’a découvert à la fin des années 70, lors d’un passage à Apostrophes, l’institution télévisuelle d’une époque où l’on pouvait encore parler de littérature en prime time. Entouré par Gaston Ferdière, le psychiatre qui avait soigné Artaud, et par Cavanna, l’anarchiste officiel du paysage médiatique, Bukowski, un excellent Sancerre aidant, n’avait pas tenu longtemps. Il avait éructé, ironisé, rigolé et insulté avec cette indifférence aristocratique au qu’en dira-t-on qui caractérise l’ivrogne et le génie, ces frères d’armes. Coincé ente la médicalisation du soignant et la révolte institutionnalisée de ce que l’on n’appelait pas encore le politiquement correct, Bukowski avait été chassé des studios, néanmoins applaudi par les techniciens.
Ce n’est qu’un des nombreux épisodes relatés dans la première biographie digne de ce nom consacrée à Buk, par Howard Sounes et sous-titrée « Une vie de fou ». On pourrait se demander l’utilité d’une biographie pour un homme qui inventa sans le savoir l’autofiction et ne raconta, pour l’essentiel, que ce qui faisait son quotidien : les bars d’Hollywood Boulevard, les chambres meublées, les cuites épiques, l’érotomanie compulsive, les éclats de rires sarcastiques et les poèmes tapés sur les machines à écrire des gueules de bois durables. C’est oublier un peu vite ce que les légendes cachent de chair souffrante, c’est oublier encore plus vite que l’écrivain, Bukowski plus qu’un autre, est ce mensonge qui dit toujours la vérité.
Né en 1920, Charles Bukowski est un enfant de la Grande Dépression. Il en garde l’impression que toute vie est placée sous le signe d’une insécurité fondamentale, que boire est le meilleur moyen d’oublier que l’on est assis sur un siège éjectable dans l’antichambre d’une apocalypse imminente. D’ailleurs, dans les derniers temps de sa vie, alors que l’Amérique du début des années 90 connaît une nouvelle récession, Buk, rongé par une leucémie revient vers cette vision d’un monde en phase terminale, comme si rien ne permettait d’échapper à cette fin programmée de tout.
Les femmes furent la grande affaire de sa vie. Avec elles, il fut odieux et charmant, insultant et noble, abject et généreux. Un amoureux oxymore, un amant antithétique. Il montra, derrière sa grossièreté et sa scatologie, une incroyable capacité à souffrir. Dévasté par une acné qui nécessita plusieurs hospitalisations, il ne put connaître de relations à peu près normales qu’aux alentours de ses vingt-quatre ans. Il faut lire Les jours s’en vont comme des chevaux sauvages dans les collines, recueil inédit qui paraît en même temps que la biographie. C’est une élégie pour Jane Cooney, sa première compagne. Le sordide devient somptueux, et Buk dans sa Volkswagen Coccinelle hors d’age, pleurant sur Stravinsky, roulant vers le couchant, apparaît comme un des plus grands poètes de notre temps. À l’instar d’un Brautigan ou d’un Carver, il se méfie du lyrisme comme on se méfie d’un politicien corrompu. Son minimalisme est un humanisme, une éthique de la non-participation à la folie américaine qui se déroule sous ses yeux : guerre raciale, guerre du Viêt-Nam, guerre sociale. Bukowski, et cela lui fut assez reproché, n’entretint que des rapports plutôt distants avec le mouvement de la Beat Generation, pressentant la récupération historique qui ferait bientôt des hippies les notaires de la faillite du rêve américain. On ne raconterait pas d’histoire à celui qui fut postier pendant vingt ans, usant ses nuits au tri, en compagnie des déclassés définitifs.
À la fin de sa vie, alors que sa situation conjugale et financière est enfin apaisée, Buk devient le copain de Sean Penn. Avec l’acteur, il est invité à un concert de U2 qui lui est dédié, ce qui ne l’empêchera pas d’écrire dans son journal : « Les gens ont besoin de ce discours anti-establishment, antiparents, antitout. Mais un groupe de rockers millionnaires et adulés, quoi qu’ils disent, ce sont eux l’establishment. »
Bukowski, saint obscène et martyr ivre mort, est bel et bien un héros de notre temps.

Jérôme Leroy (Le Figaro littéraire, 29 mai 2008)

Charles Bukowski, une vie de fou, de Howard Sounes (Le Rocher, 380 pages, 23 euros)
Les jours s’en vont comme des chevaux sauvages dans les collines, de Charles Bukowski (Le Rocher, 236 pages, 17 euros)

78 approbations inconditionnelles:

woman a dit…

""En beaucoup de domaines, j'étais un sentimental : des chaussures de femme sous le lit ; une épingle à cheveux abandonnée sur la commode ; leur façon de dire : "Je vais faire pipi… " les rubans qu'elles mettent dans leurs cheveux ; descendre le boulevard avec elles, à une heure et demi de l'après-midi de l'après-midi, deux personnes marchant ensemble, simplement ; les longues nuits de beuverie, de tabagie, de discussions ; les scènes ; penser au suicide ; partager un repas en se sentant bien ; les plaisanteries, les rires absurdes ; sentir les miracles dans l'air ; ensemble dans une voiture en stationnement ; comparer les amours d'antan à trois heures du matin ; s'entendre dire qu'on ronfle, écouter ronfler ; les mères, les filles, les fils, les chats, les chiens ; parfois la mort , parfois le divorce, mais toujours continuer, s'accrocher ; lire seul le journal dans une buvette et sentir une nausée te retourner l'estomac parce que maintenant elle est mariée avec un dentiste ayant un QI de 95 ; les courses de chevaux, les parcs, les pique-niques dans les parcs ; même la prison ; ton goût pour la gnôle, son goût pour la danse, tes baises en douce, et elle qui fait pareil ; dormir ensemble…" Charles Bukowski (extrait de Women)

Bub a dit…

voila un texte d'un autre niveau que le reste quand même

christine angot a dit…

"Les femmes se tenaient accroupies dans les chariots,buvant du gin,priant,se masturbant."
(Au sud de nulle part)

Moi aussi,un jour,j'arriverai à écrire comme ça,efficace&élégant!

Philippe Delerm, auteur de SF a dit…

"La voiture est étrange : à la fois comme une petite maison et comme un vaisseau sidéral."

Moi aussi un jours j'aurai des fulgurances comme ça et je dirai vaisseau sidéral et pas spatial pour me rendre intéressant.

ségolène royal a dit…

"Arrêtez de lorgner mes nénés,mister"
(toujours au sud de nulle part)
Si j'avais l'audace de lui balancer ça dans les gencives,à l'autre malfaisant,pendant le débat d'entre les 2 tours,haut la main qu'j'étais élue,haut la main....

élisabeth 2,queen mom a dit…

Certes,j'avoue un certain penchant pour le Beefeater°(TM),mais précise que je me déplace en calèche,et non en charriot,comme la plèbe.
Je ne vous salue pas.

Martini dry a dit…

Couine mom et moi on a les mêmes goûts.

culpet a dit…

vous vous moquez bien du roman policier monsieur, et vous encouragez votre "public" à lire des ouvrages dépravés qui ne respectent pas l'ordre moral — contrairement à ceux de fraidvargasse — et dans un style qui manque cruellement de platitude.
Nous ne vous saluons pas.
Culpet (Comité uni des lecteurs de polars ét[h]iques)

fafounisme&rurbanité a dit…

En plus,Bukowski,il a été traduit par Gérard Guégan,et Guégan c'est un sale rouge,ils l'ont dit dans "Présent"..
Alors faut pas vous étonner si on fait des rapprochements et qu'on tire des conclusions,hein...

clavier bien tempéré a dit…

Putain!quand je tape "&",ça affiche "&"!
Que faire?

CPOA sainte-anne a dit…

Consulter, et vite!

xyr, phase maniaque a dit…

Arrèté de prendre un accent méditeranéen à tout boute chant pour vous vantez de vos origine "ethnique" et de vous vautré dans la fange rouge qui est la lit de l'humanité.

clavier&tempéré a dit…

Je voudrais bien,mais il y a plein de types en string qui jouent du tambour,ils disent qu'ils étaient là avant moi,et certains me conseillent d'analyser mes problèmes existentiels à l'aide d'un voltmétre très onéreux.
De plus,je croyais que le solstice d'été c'était plutôt en juin.

Ancien scout a dit…

Excusez moi je suis en retard à la thérapie de groupe du soir de l'hopital ? Il est pas là le docteur Benhalassa ?

Vicieux a dit…

C'est marrant on a l'impression que plein de commentaires qui se suivent sont du même auteur.

patxi pavargasse a dit…

Ola,maricon!
Le camarade Guégan,il écrit des chroniques littéraires dans SudOuestDimanche,alors tu respectes,si tu veux pas qu'on exporte la kalle borroka à Juvisy et qu'on joue du txitxu dans ton livigroume...

Vicieux a dit…

Vous devriez faire un classement de vos haines

Lucien Rebatet a dit…

Et Alfredo il écrit dans le Figaro et Valeurs actuelles, il est des nôtres, ou des vôtres les gonzes

xyr décadent optionnel a dit…

L'art est particulièrement révélateur de l'état psychique d'une société,en effet.Mais ici,ne parlons pas d'art,

Alain Minc a dit…

La Vierge m'a dit de faire passer le solstice au 19 août

Jenny Suarez-Ames a dit…

Au moins le pseudo est parlant, Lucien le vicelard. Si tu causes de la nécro de Fajardie dans VA, dugland, elle était bénévole. Quant au Fig Litt, si tu sais lire, c'est le seul supplément littéraire acceptable de la PQN (d'ailleurs ça grouille de rouges, là-dedans). Sinon il écrit dans Liberté Hebdo, l'organe officiel de Stalineville-sur-mer.
Ah ouais, j'oubliais, tu vas encore me dire que je suce mon co-blogueur. Note, il y a pire.

bipolaire avec des antennes a dit…

Tout vient des engrammes qui vous ont traumatisés dans l'utérus de vos mères;le grand Thétys de classe IV nous a dit qu'on pouvait guérir,moyennant 33% de nos revenus mensuels.

Vicieux a dit…

Il y a pire et plus douloureux, la sodomie. Une motte de beurre quelqu'un ?

Pénitent a dit…

Ah d'accord c'était de la générosité comme Lapaque quelques jorus après (qui écrit dans Valeurs Actuelles qui défend à fond Sarkozy de Nagsy après avoir vendu son bouquin anti-Sarkozy de machin bidule ?
C'est pas grave d'aimer le Figaro de Dassault.
Sinon, ce blog est donc l'organe (petit organe) d'une secte si je saisis bien et ASG est son prophète

dr Feelgood a dit…

Un secret, pour montrer que l'on méprise un commentaire et qu'il ne touche pas, on ne répond pas, on ne relève pas

Jenny Suarez-Ames a dit…

Voui docteur, merci docteur, je suivrai la prescription docteur sauf que... Lapaque pro sarko? HAhaHAHahHAhaHAhaHAhaha

xyr a dit…

Critiquez pas l'utérus à maman. Dans l'utérus à maman y avait pas de méditerranéens qui viennent m'ethnodifférencialiser en tant que petit blanc isolé dans mon pavillon de Juvisy [là, notre héros ment, il est au pavillon n°1275 de Sainte-Anne, rayon psycho-amniotiques].

pénitent volontaire a dit…

Il écrit dans un torchon sarkoziste c'est tout comme

Pénitent a dit…

Sinon j'ai pitié de vous, vous êtes vraiment dans la merde maintenant J , engluée comme vous l'êtes.

the genuine dr filgoude a dit…

Je n'ai pas écrit le com' n°25 et les pénitents vicieux ne devraient pas médire de la sodomie,qui a plus fait pour le contrôle des naissances que le regretté Dr Ogino

Jenny Suarez-Ames a dit…

ah merde je m'ai trompé de thérapeute, il faudrait trouver un truc pour se reconnaître mais qui ne ressemble pas à des antennes de blatte dans des mains moites, ça file la nausée.
Le pénitent vicieux est un caca au sens manchettien du terme qui n'aime pas Lapaque parce qu'il l'a eu là où il ne l'attendait pas (dans son cul), et moi je suis engluée au burlingue, c'est tout.

filgoude et alterii a dit…

Le pénitent vicieux est triste,chroniquement frustré car son épouse légitime réprouve la fellation(c'est sale et on dit que ça donne des aphtes) et depuis qu'elle s'est fait liposucer par le Dr Maure,elle ne peut plus assumer son devoir conjugal.
Le pénitent vicieux pourrait à la limite inspirer un personnage à Houellebecq,s'il avait un peu d'épaisseur.

épouse du pénitent vicieux a dit…

La fellation c'est bien le truc qui fait mal au cul?

ménie grégoire a dit…

Encore une rumeur sans fondement.

Paul Valéry a dit…

ça dépend où t'as le cul

Le copain de Gide au blanc manteau a dit…

hé! que fais-tu là ? que fais-tu ? hérissée, et cette main glacée ? que fais-tu ? et quel frémissement d'une feuille effacée cherches-tu à simuler ? hé ! que fais-tu ?

former president clinton a dit…

I did not have sexual relations with Mr Penitent's wife.

la pote de Michaux au bras cassé a dit…

L'eau ne coule plus pour moi,
La vie n'a plus de jour pour moi.
Vassal d'un bras cassé je vis insulairement.

La fiancée de Claudel a dit…

Ysé, c'est toi ?

hanaunime a dit…

kissa?

Roger Martin Du Gard a dit…

I did have sexual relations with Mr Penitent's wife.
sous le pont

Moune a dit…

Moi je m'en fous j'ai pas de mémoire je veux juste savoir qui couche avec qui et s'il y a fellation et sodomie c'est quand même pas comnpliqué baurdelle.

virginie despentes a dit…

Je pensais trouver sur ce blog une certaine élévation de la pensée,voire des réponses à ma quête de sens;à tout le moins,un peu de spiritualité.
Or,depuis le 15 août,rien de tel:un humour graveleux de carabin suinte de chaque pixel de ce site.
Résignée,je me retire chez les Ursulines pour y terminer mon prochain livre,une analyse queer de Ste Thérèse D'Avilla.
Je ne vous salue pas.

sormanienne a dit…

Depuis que j'ai découvert que des blondes pouvaient chanter Warwick Avenue, j'en viendrais presque à avoir des potesses. Quoique.

Urmas Paet a dit…

Je qualifie d'agression l'intervention des Moissonneuses dans le conflit osséto-géorgio-xyr-sancta-teresa-d'avila et appelle la communauté démocratique internationale à condamner les Moissonneuses, (communiqué de la diplomatie estonienne).

J'ai pris officiellement et démesurément la parole mardi après-midi, lors de la réunion extraordinaire des ministres des Affaires étrangères des 26 pays membres de l'OTAN à Bruxelles. Convoquée à l'initiative des Etats-Unis, la réunion a dénoncé l'emploi "disproportionné" de la force par les Moissonneuses.

Thérèse d'Avila a dit…

Virginie,
apporte l'eau lustrale et pare les autels.
Quo te, Virginiae, pedes ? an, quo via ducit, in urbem ?

blonde a dit…

pour moi georgien et ossète, a priori, c'est la même chose.

ménie riveurztoucrosse a dit…

Le Front de Libération de la Presqu'île d'Arvert(FLPA) approuve inconditionnellement la riposte des Moissonneuses face à la lâche agression xyrienne.
La dite riposte,strictement proportionnée,peut être qualifiée "sévère mais juste".

(c'était un communiqué du FLPA,canal historique)

autre blonde a dit…

L'ézosette,c'est un missile,non?

moissonneuses family a dit…

Et lorsque personne n'était là pour soutenir les forces moissonnesque, Ménie grégoire survint pour leur foutre sur la geule. Un ouisquie, ménie?

ménie a dit…

Laphroaig?

Jenny Suarez-Ames a dit…

Quel autre?

Jenny Suarez-Ames a dit…

Laphroaig et Drappier zéro dosage.

ménie a dit…

Je crois que dans le Pilote de 84 exhumé dimanche dernier on vantait un alcool de grain produit par le camarade Iouri Walker,hélas introuvable aujourd'hui.

postchox (à peu) a dit…

Je me demande quel alcool on aurait pu tirer des pois sauteurs de pif...

ménie a dit…

Rahan,fils des âges farouches,aurait pu en faire du schnaps,débrouillard comme il était.

rahan (fils des âges etc.) a dit…

J'adore la manzana, c'est pas un alcool de pédé (enfin je crois)

Alfredo Smith-Garcia a dit…

Rahan était un authentique marxiste qui savait que le sorcier du village était l'opium du peuple. C'est Youri Gagarine qui lui a donné son coutelas. Brejenev, je m'en souviens, adorait lire Rahan

filgoude,bédéphile a dit…

Moi,j'avais une petite préférence pour le Dr Justice(un abonné des lignes internationales,en quelque sorte),mais je n'ai jamais réussi à imiter correctement le "cri qui tue".

abonnée à pif a dit…

Rahan et comment s'appelait-il, le gars du futur qui secourut une femme préhistorique? (était-ceà la tévé? peut-être)

peyo filegoude(lointain cousin) a dit…

La manzana n'est certes pas un alcool d'inverti,mais des observateurs dignes de confiance estiment que l'izarra est queer(un peu comme Alliot-Marie).

Jenny Suarez-Ames a dit…

Ah vous avez un alcool queer? Parce que la manzana (un pote journaliste baroudeur dixit) c'est déjà limite. Mais si vous citez Alliot Marie nous sommes morts.

xyr a dit…

je suis accro aux aventures de rahan il me manquele numero 21 et les numero apré le 22 jespere que vous pouvai maidé je peut vous les acheté merci tchao

vitxente,patxi,peyo et les autres a dit…

Pour être tout à fait honnête,les basques sont capables de grandes choses,leur cuisine est intéressante,leurs villes et leurs femmes sont belles,mais rayon liqueurs et pinards,c'est à pleurer..

Alfredo Smith-Garcia a dit…

J'emets des réserves sur la manzanilla(manazana?) qui n'est pas un alcool uraniste, certes, mais n'est pas franchement non plus un bon busmill malt à 10 heures du matin ou la vodka du tankiste russe, bien méritée, après la lecture d'un article délirant de BHL(voir le monde.fr) et le bombardement légitime des infrastructures de l'état fantoche des eurofascistes géorgiens

Laphroaig Sainte-Anne a dit…

Non, mon chéri pif c'est trop gauche pour toi. Tu veux les schtroumpf?

Laphroaig Sainte-Anne a dit…

À gauche, pardon

ilysien dionysien a dit…

Moi,je bois du Chivas°(TM),car à Sup de Co,ils disent que c'est classieux et le grand ancien du Bureau des Eléves qui s'occupe des bizutages,il pense les avoir comme sponsors pour notre prochain raout à Juvisy.

BDE ILYS a dit…

C'est quoi le Laphroaig?

xyr a dit…

je vous léchange le numero 21 et 22 de rahan contre le pilote d'out 84
Fautil avoir peure des moissonneuses

tankist'y aura des hommes a dit…

"Qu'il s'agisse d'histoire biblique, d'histoire grecque ou d'histoire contemporaine, BHL affiche, dans tous les domaines, la même consternante ignorance, la même stupéfiante outrecuidance."
Pierre Vidal-Naquet 1979
Sinon j'ai de la Zubrowska à l'herbe de bison pour ceux qui aiment.

Laphroaig Sainte-Anne a dit…

Attachez-le... Tout de suite! Pas Rahan.. pas... Rah... an...

Le repos du guerrier a dit…

J'avaias la même de PVN, et du Laphroaig à la maison, pour ceux qui aiment.

filgoude,bédéphile a dit…

abonnée à Pif,votre histoire ça rappelle plutôt une BD de Richard Corben,enfin tout est possible.

nicolas a dit…

repos du guerrier:oui,je vous l'ai postée en juillet,mais on ne s'en lasse pas

Jenny Suarez-Ames a dit…

Non, ne vous embêtez pas, je crois que c'est du capitaine flam circa 1980 et des brouettes (quelque chose comme ça) simplement; pas de quoi chercher dans vos archives. Ou bien du rahan? Oh diable...

xyr,valeur d'usage,valeur d'échange a dit…

Sinon en échange du pilote de 84 je peux vous donner les illustrés cochons de mon grand frère:les Sambott n°15 à 20 et plein d'autres de chez Elvifrance.
On tope?

xyr, radin et 15 ans de plus a dit…

Nan on tope pas c'est pas bien ce que vous faites, je ne veux pas voir de monsieurs tout nus je veux des gadgets comme par exemple des armes pour me barricader dans la montagne seul avec des dahuts et des marmottes pour le jour où l'état viendra me chercher et... et... Argh.. non madame... ne me...

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