De jeunes grecques se reposent après des combats sur la place du Syntagme(on remarquera l'usage judicieux du komboloï) Maurice Williams et les Zodiacs chantent pour la jeunesse grecque en lutte:
A propos des cœurs purs et de ceux qui les ont précédés dans la mire de la DNAT : la deuxième réunion publique du Comité de Paris se tiendra demain samedi 20 décembre à 17h au CICP, 21ter rue Voltaire dans le XIe (M° rue des Boulets — fort bien nommé pour la circonstance). Sinon, j'avoue mon ignorance quant au sens de "komboloï" : mon Petit Robert passe directement (je trouve ça assez inapproprié) de kolkhozienne à kommandantur (hum…). Ce serait-y cette sorte de string perlé ?
Je me hâte de préciser que l'expression "kommandantur aux seins nus" n'érige en moi aucune sorte d'émotion, contrairement à certains amateurs graveleux de mauvais romans des 60's, parus par exemple chez Plon, aux Presses de la Cité ou dans la collection "J'ai lu leur aventure".
En outre (le mot paraît bien choisi, n'est-il pas, colonel ?), pour la paix de ce blogue, je me suis bien gardé d'évoquer à ce sujet Sarah Palin, seule concrétion possible à mes yeux de cette expression.
Le komboloï, cher Georges, est une maniète de chapelet sans la moindre connotation religieuse qui a pour seule utilité d'occuper les mains de ces feignasses hellènes gavés de subventions européennes, quand ils glandouillent en terrasse.
Won't you press your sweet lips to mine ?
Won't you say you love me all of the time ?
(cccome? said he
ummm said she)
you're divine! said he
(you are Mine said she)
La place SYNDAGMA, enfin...
So Sorry Miss Jenny,
Just got a little carried away..
Il est pour le moins paradoxal de constater que la place du Syntagme présente ici les attraits du Paradis[gme].
dites-le George, c'est un billet qui relève
A propos des cœurs purs et de ceux qui les ont précédés dans la mire de la DNAT : la deuxième réunion publique du Comité de Paris se tiendra demain samedi 20 décembre à 17h au CICP, 21ter rue Voltaire dans le XIe (M° rue des Boulets — fort bien nommé pour la circonstance).
Sinon, j'avoue mon ignorance quant au sens de "komboloï" : mon Petit Robert passe directement (je trouve ça assez inapproprié) de kolkhozienne à kommandantur (hum…). Ce serait-y cette sorte de string perlé ?
Je me hâte de préciser que l'expression "kommandantur aux seins nus" n'érige en moi aucune sorte d'émotion, contrairement à certains amateurs graveleux de mauvais romans des 60's, parus par exemple chez Plon, aux Presses de la Cité ou dans la collection "J'ai lu leur aventure".
En outre (le mot paraît bien choisi, n'est-il pas, colonel ?), pour la paix de ce blogue, je me suis bien gardé d'évoquer à ce sujet Sarah Palin, seule concrétion possible à mes yeux de cette expression.
Le komboloï, cher Georges, est une maniète de chapelet sans la moindre connotation religieuse qui a pour seule utilité d'occuper les mains de ces feignasses hellènes gavés de subventions européennes, quand ils glandouillent en terrasse.
La jeunesse grecque nous réchauffe : http://www.boston.com/bigpicture/2008/12/2008_greek_riots.html
Merci, Beasse, ces photos sont magnifiques, en particulier la n°9 et la n°13, très instructive quant à la manière de passer un bon Noël.